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novembre 2019 - ARPEC
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Les formalités: un frein à la prospérité

La banque mondiale a estimé le nombre de jours nécessaires pour créer une entreprise dans à peu près tous les pays du monde. Ainsi, il faut deux jours pour lancer une affaire à Singapour, 4 jours aux Etats-Unis, 5 jours en Belgique, 9 jours en Chine, 12 jours en Argentine, 37 jours au Malawi et 97 jours en Haïti.

Une mise en parallèle de ces délais avec le produit intérieur brut des pays montre que la prospérité de ceux-ci est souvent inversement proportionnelle au nombre de jours nécessaire pour mettre une entreprise sur les rails. Bien sûr, cette relation ne s’exprime pas avec la rigueur d’une formule mathématique mais, globalement, le lien est bien là.

Ainsi, Singapour affiche un PIB par habitant de 93.900$, les Etats-Unis un PIB par habitant de 59.500$. Celui-ci est de 46.600$ en Belgique, de 16.700$ en Chine, de 20.900$ en Argentine, de 1.200$ au Malawi et de 1.800$ en Haïti.

Ce simple exemple montre à quel point les formalités administratives obèrent la rentabilité des entreprises, et, à travers elles, la prospérité de tout un pays.

On l’a vu, en Belgique, ce n’est pas la création de l’entreprise qui pose problème. C’est plutôt la multiplication des obligations administratives récurrentes. Pour les PME, cette question s’avère particulièrement préoccupante, car elles ne disposent pas du staff nécessaire pour faire face à des formalités de plus en plus nombreuses. La solution consiste à sous-traiter celles-ci.

Arpec propose aux PME, indépendants, associations,… un secrétariat à distance hyper-fluide qui les libère des tâches non productives pour qu’elles puissent se focaliser sur l’essentiel: leur croissance.

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Chiffre d’affaires, charges et risques: les trois pédales de l’entreprise

Le terme « véhicule » est parfois utilisé pour désigner une personne morale. Dans le cas d’une PME, la métaphore prend beaucoup de sens, car le dirigeant d’une société peut, lui aussi, appuyer sur trois pédales pour conduire son entreprise.

L’accélérateur, c’est le chiffre d’affaires. Le rôle du frein est joué par les charges. Quant à l’embrayage et la boîte de vitesses, il peuvent être comparés au niveau de risque que l’entreprise accepte de prendre.

Si l’on poursuit l’allégorie, l’entreprise peut, pour maximiser sa vitesse, c’est-à-dire son bénéfice, pousser sur l’accélérateur ou lever le pied de la pédale du frein. Elle peut donc augmenter son chiffre d’affaires ou diminuer ses charges. Une des fonctions de l’entreprise est tout entière tournée vers l’augmentation du chiffre d’affaire. C’est, bien sûr, la fonction commerciale. La diminution des charges fait parfois l’objet de moins d’attentions.

Pourtant cette dernière s’avère être une stratégie efficace d’augmentation des résultats. Ainsi, si mon chiffre d’affaire est de 50.000€ et mes charges variables de 80%, soit 40.000€, ma marge brute après charges variables est de 10.000€, soit 20%. Si j’augmente mon chiffre d’affaires de 10%, il passe à 55.000€ et ma marge brute après charges variables passe à 11.000€, progressant elle aussi de 10%. En revanche, si mes charges variables diminuent de 10%, pour un chiffre d’affaires de 50.000€, elles seront limitées à 36.000€. Ma marge brute après charges variables se trouvera ainsi propulsée à 14.000€, soit un accroissement de 40%.

Parfois, le chef d’entreprise manque de temps pour optimiser son résultat. Arpec peut palier cet agenda encombré et analyser avec lui les pistes possibles.

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