Les formalités: un frein à la prospérité

La banque mondiale a estimé le nombre de jours nécessaires pour créer une entreprise dans à peu près tous les pays du monde. Ainsi, il faut deux jours pour lancer une affaire à Singapour, 4 jours aux Etats-Unis, 5 jours en Belgique, 9 jours en Chine, 12 jours en Argentine, 37 jours au Malawi et 97 jours en Haïti.
Une mise en parallèle de ces délais avec le produit intérieur brut des pays montre que la prospérité de ceux-ci est souvent inversement proportionnelle au nombre de jours nécessaire pour mettre une entreprise sur les rails. Bien sûr, cette relation ne s’exprime pas avec la rigueur d’une formule mathématique mais, globalement, le lien est bien là.
Ainsi, Singapour affiche un PIB par habitant de 93.900$, les Etats-Unis un PIB par habitant de 59.500$. Celui-ci est de 46.600$ en Belgique, de 16.700$ en Chine, de 20.900$ en Argentine, de 1.200$ au Malawi et de 1.800$ en Haïti.
Ce simple exemple montre à quel point les formalités administratives obèrent la rentabilité des entreprises, et, à travers elles, la prospérité de tout un pays.
On l’a vu, en Belgique, ce n’est pas la création de l’entreprise qui pose problème. C’est plutôt la multiplication des obligations administratives récurrentes. Pour les PME, cette question s’avère particulièrement préoccupante, car elles ne disposent pas du staff nécessaire pour faire face à des formalités de plus en plus nombreuses. La solution consiste à sous-traiter celles-ci.
Arpec propose aux PME, indépendants, associations,… un secrétariat à distance hyper-fluide qui les libère des tâches non productives pour qu’elles puissent se focaliser sur l’essentiel: leur croissance.